Après une bonne cuite, la création de la prod à POMPON s'appelle :
JAnus
wiky: étymologie, proposée par Paul Diacre au viiie siècle, est motivée par le sens d'ouverture et propose, pour radical, hio, hiare, hians (« ouvrir, béer »), dontIanus, Janus dériverait par la perte de l'aspiration initiale. Il le rapproche du dieu Chaos qui précède la création du monde
la fonction d’« ouvreur » du dieu Janus étant suffisante pour expliquer sa place au début des temps.
« Il en est qui disent que Janus est le même à la fois qu'Apollon et Diane, et que ces deux divinités sont voilées sous son seul nom. En effet, comme le rapporte Nigidius, les Grecs honorent Apollon sous le nom de Θυραῖος (Thyréen), dont ils dressent les autels devant leurs portes, pour montrer qu'il préside aux entrées et aux issues. […] Chez nous le nom de Janus indique qu'il est aussi le dieu des portes, puisque son nom latin est l'équivalent du mot grec θυραῖος [note : « portier, de la porte », en grec]. Nigidius a dit expressément qu'Apollon est Janus et Diane, Jana8. »
Janus est aussi le dieu romain des commencements et des fins, des choix, du passage et des portes1. Il est bifrons (« à deux têtes ») et représenté avec une face tournée vers le passé, l'autre sur l'avenir. Il est fêté le. Son mois, Januarius (« janvier »), marque le commencement de l'année dans le calendrier romain2.
cozeulodorieso!
Ovide2, dans les Fastes, met en scène un dialogue entre lui-même et Janus. Il lui demande la raison de sa présence sur l'asromain. Le dieu lui répond :
« Tu pourrais, dit-il, me reconnaître dans cette double image, si la vétusté n'en avait altéré les traits. Quant à l'explication du navire, la voici : le dieu qu'on représente armé d'une faux [c'est-à-dire Saturne], chassé par Jupiter du ciel, son empire, avait déjà erré dans tout l'univers, quand son vaisseau entra dans le fleuve de l'Étrurie. C'est dans ces contrées que je me rappelle lui avoir donné asile ; c'est pourquoi, longtemps, elles portèrent le nom de Saturnia, et le nom de Latium exprime également qu'un dieu était venu s'y cacher. La postérité grava un navire sur sa monnaie, pour témoigner de l'hospitalité qu'un dieu avait reçue. J'ai occupé moi-même aussi la rive gauche du Tibre, […] au Janicule. […]. Je n'avais rien à démêler avec la guerre ; je maintenais la paix ; je veillais sur les portes ; et il ajouta, en montrant sa clef : "voilà mes armes2." »
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