Les histoires font du ski à poil sur des méduses
Dépouillée. Elle pend la vie C'est un ventre mort. Un horizon indéfini à perte d'haleine On the vulve again
j'aurais aimé Ne plus A me souvenir Naissance Depuis A France J'ai laissé Temps trop- près De proche en loin le Je ne vous parle plus La balle à éclatée à l'écran des figures sur route détraquée Lumière d'éffare contre un mur Ecarté Siffle Perce d'oreille A ondes perdues sur fond d'écoute D'elle A distance trouée Souvenirs d'un bout à l'autre du temps Barricadés Mes souvenirs REVENIR Dans mes poings Ce que le temps Digère Aussi longtemps qu'il m'en souvienne Digérer les heures Goutte à goutte Je ne sais pas Goutte et glisse sur la nappe blanche opaque de la table à langer les morts Des virus Je ne sais pas L'empreinte pelote Même pas laisser le temps Filer L'innocence La patience Les faiblesses Creuse Vague bléssée AU Souvenir d'une mer sans histoire Baise d'héritage Blanche La bave à la commissure des lèvres Pointe en fer Blanche Les histoires font du ski à poil sur des méduses Les tendresses sont dissoutes dans un pot à formol comme de l’embryon de vie qu'il y avait. Je me souviens de l'héritage qu' elle m'a laissé Il y avait des GUERRES que la jeune femme me GARDAIT bien jalousement au coin de l'oeil blanc (Déèsse- IRIS- fanée) Le mâle que je suis Des fuites de la jeune femme repartie Sur mes genoux En HORS-BITE « Espèce d' Espace » En Périr A Percer L' amère noire Lestée Lourde Le temps Qu' elle aurait dû rester dans ma mémoire mais la tempête l'as foutu le camp dans le creux de ses reins Loin j'y suis aussi La baise -d''amour Soleil en fuite Enlevant les draps du priant Violé Les tendresses dissoutes dans un pot à formol L’embryon de vie qui l' avait déformé C'est un calypse près de la peau tout au bord qui s'enfonce le sang pertes D'haleine des eaux percées fuyantes forcées Dépouillée Souillée Ma rêve -morte Elle pend de la vie au ventre- mort Un précipice D 'enterrer au fond des draps Dentaires de la peau En rides Je me souviens de tout et beaucoup trop pour ne pas chercher à revenir en arrière Mais la fuite de ses eaux La perte (blanche) Comme au temps de l'ultime entrée Ecarquillée LACAN CANAL ANAL Dans un ventre -monde Creux Râpeux CRU ? Ecartée Le béton à transformé l'argile en boutons Dépouillée Tout dur C'est perdu de la boite à mémoire Sil s'en va du vent Il en est temps J'en sais trop pour ne pas le décrire Arraché morceau par morceau Morts-à-morts Tout ce qui pouvait préservé une humanité soudainement disparue Envolée Les crises et là Pleurs C'est devenu si rêche La hache Lâche blesse Quand bloc des cuisses s'écroulent d'un bloc contre le cou Mortel Les poings ne se referment plus sur rien.
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