J' AI UN OS DANS LA BOUCHE prêt à tirer

J' AI UN OS DANS LA BOUCHE qui la bouche entièrementUne bouche qui l'empêche de mâcher l'osL'os attends, logé dans le long de la gorge, plaies à tirer
prêts pour la salve, la cible choisie
Dimanche NOAR dans un trou ni éclairage, sortie d'urne en branle, les assesseurs me laissent peindre mes SUEURS NOCTURNES sur les carrés de papier pseudos recyclés.
L'Os dans la bouche me permets encore de respirer, impossible de le cracher ormis une cible bien choisit : j'ai dans la tête 2-3 images de têtes qui m'entêtaient cette nuit, la tête éclatée contre un mur de miasmes mensongers pseudo (encore culture de la morT- moi- le- nœud et je te ferais d'égoutter de la vie. La salive ne se paient pas encore comptant. GG s'est pris le quai de la gare de 7 pour se faire avaler jusqu' à Marseille. Gaël reprends ses fonctions de bel photographer, Vince à tout de même fait les puces le dimanche matin avant qu'il ne pleuve des chiure s de pisses de mouches sur les papiers cartonnés de la revue « CAMARADE POMPON «  dûment maquettée durant la soirée de samedi au BUREAU CAMARADE POMPON -NETTES tenu rigoureusement par les nerfs de Yannick en folie concept-café ajouté des œuvres des enfants avec tous les outils que pouvait fournir et fourbir BEN en animateur décalé devant la porte vitrée embuée des sourires jusqu' aux oreilles des participants à cette magnifique première soirée du FAONZINE au Concept. 

« Si ça continue comme ça je ferme dans une heure ! me dit Didier , le patron, gentiment,car ce n'est évidemment pas « une scène ouverte » mais plutôt un mixage entre présentable et non-représentable, un MELTING-PEAU comme on les aime et les « AIMES » du dedans aux sourires dérangés et des cœurs en action ,  d'amour et la TOLERANCE, enfin une fois de temps en temps quand c'est possible, si possible dans des lieux éclairés , des lieux ouverts à tous les gens, des passeurs aux passants et Didier fût fort content de la soirée finalement. Dans l'instant prsent HIC& NUNC (chair à Cécile Richard) parcequ'il n'y avait pas de manquant.e.s » juste en pièce détaché.e.s déterminé.e.s à ce que les prochaines fois êtres TOUT.E.S ensemble en OS scratchés hors de la bouche,
Au fond tout le monde y étais dans la revue, tout celles et ceux qu'i l'ont voulu. Tout est DEDANS et Régina BLAIM vient pour le BZR de 7 alors j'y ferais des POMPONS-BITES avec tous celles & ceux qui veulent (gamins compris)...

Richard Beffler nous adresse des messages aussi, profitant de l'instant pour y déposer deux exemplaires d’un tout récent numéro du Quetton, « la première revue underground française ». Elle a été fondée par Rocking Yset en juin 1967. Donnant une carte blache dans son cahier central de vingt pages. Une dizaine de ses textes de 1970 à 2012 y sont publiés et ainsi l'honneur d'y rencontrer Max Horde venu en ami ainsi que Pascale et Thomas.
« RIEN N'EST PréVU, TOUT RESTE A FAIRE » Pierre Booser Vient aussi à la confrence de rédac'



Je n'ai eu aucun mal à DECHIRER MA CARTE ELECTORALE !

Un Faonzine c'est long à digérer, on le prends on le boit on le plie, on l'ingurgite et puis les sons des lectures à pleusieurs voix des « fondateurs de labande passante » Jérôme Bertin, Gaêl Dadies, Yannick Boudibop, firent les entrées en « matière » . petit tas petit en consentements mutuels les choses s'organisent « DE PROGRAMME ? TOUT EST à DéPROGRAMMé » des convives s'invitent, KARINA ritualise la soirée, tandis que LOHR se peau-à peau & tise.(mais j'oublie aussi d'autres gens rencontré lors de cette occasion, des vieux , des jeunes qui dansent ensemble)

L'arrivée des sons de CHEVAL BLANC & de ses comparses LOLO , ALEX, copains d'enfance, traduisent en son et en chansoons « camarade Pompon. Pas de trous, du vide qui se remplit , oublie le temps, le temps s'inverse immanquablement, le temps s'oublie dans son temps, et le temps se donne et se prends, se déplit, les voix et les sons s'enchainent ainsi jusqu' à la fermeture du bar. Dehors, la nuit s'est éclairée, le quai ROUSTAND est apaisé la mer coule tranquille sur ses bords et quelques leueurs se répandent vers nous, une sorte de salut , je pesne déjà aux prochaines et à la finir afin de la diffuser , LA FAONZINE ULTRA POMPONESQUE...

il faudra me passer sur le dos pour y détruire la tête, il faudra déjà me trouver, troué, dans l'état d 'équilibre qu'exige le mouvement des corps détruits qui ne s'aplatissent jamais sous l'enclume des luttes, marasmes 


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