Le papier à mâcher est plus souple que le mat cramé, il est froissable mou inépuisable indispensable, il sert beaucoup tous les jours, de mains en mains, il se porte sur soi, on le torche vite fait bien fait, on peut l'avoir d'en soi , s' il peut se cacher, rager de ne pas le trouver, le chercher le retrouver tout en bouillis-gribouillis au fond de la poche voir ce qui était écrit dessus tout rétrécit dessus avant que le pressing l'ai complètement articulé à sa façon
Façon motte de terre
Façon caca
Façonné à la poche
Façon torché
Façonné au pressing et le voir ressortir indemne rigolard tout torché qu'il est
(surtout les petits billets de banque en boule)
Au tabac du café au coin, ils n'acceptent plus les boulettes de fric, du fric ils veulent des beaux billets, tout doux , bien lisse bien propre pas chiffonné ni raturé ni dessiné, ils devraient le sentir leur billet avant tout, tout billet pue c'est bien connu l'argent à une odeur qu'aiment les banquières elles en raffole des billets doux, au point de les mettre dans un coffre avec un code des clés, les papiers tout chiffonnés qui sentent bon les mains qui passent de poches en poches, de porte -flouze en porte-monnaie, ON LE PORTE L'EMPORTE PARTOUT, qu'il passe de l'usine jusqu'au broyage, les petits papiers à mâcher dessinés.
Oups, il est pas de moi ce texte, que le titre qu'est pour un autre en fait ! Bon ça fait rien, ça se mélange aussi les pompinceaux sur Camarade Pompon et c'est tant mieux !!!
Cécile Pomponette.
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