En vous essayant noyer cerveau la pensée n'a plus
pieds. Les pieds de moules disparaissent sous les pas. Les traces des
morts s'encombrent dans le lit des eaux. La tête est un bocal par où
supprimé toute cavité. Phénoménale est la succion des poissons.
Pas d'étales au marché. Les poils flottent au gré de l'onde sous
le soleil épanouit les armes tirent de tous les côtés. A bord du
navire les rames se plient. L'eau est dure pour qui s'aventure hors
des limites territoriales. Les frontières sont embrasées. Les murs
de morts se déploient côtes à côtes sur le lit des côtes.
S'amplifient. Il n'y a plus que les sirènes qui savent baiser
entre-elles. La vie au long court n'a plus de lieu. N'a pas lieu en
terre et place. Sur la plage les émoluments surgissent. Implacables
en billets de manques mouillés et déchirés. Sans glottes. La
réponse est amère. Des bouts de langues trébuchent sur les
mots-morts. Les moisissures.
La tyrannie des flingues flanqués à
l'anus dès la naissance développent des hémorroïdes de haine. La
baise imminente avec les eaux coupent la tête à ceux qui l'osent
narguer la mante-religieuse avant tranche ment de la tête. Il
m'arrive de ne plus avoir d'argent pour me payer l'envie d'un café
mais pas l'envie de me faire massacrer. La force des tendons du
cerveau ne se laisse pas saisir. Comme de la proie. Le cerveau n'a
pas besoin de bras ou de jambes pour courir ventre à terre. Il ne se
meurt pas sous des coups psychologiques. Il règne en maître sur le
corps même s'il ne peux plus avancer. Dans les camps les chevaux
mouraient avant les Hommes et les Femmes et les Enfant à moins 50
degrés. La résistance au corps à corps est plus fertile que les
collabos. L'envie du corps de résister fait pousser des bourgeons
aux balles les plus intrépides. Ils s'accumulent dans les champs de
mines. Faire pousser des grenades pour des salades là c'est la
volonté d'un corps qui n'a pas finit de subir la violence de la vie
pour l'apaiser. Aucune guerre ne peut à ce point fertiliser les
semences du fanatisme qui fait avancer les estropiés. Naît
disponible dans la haine. Manger la salade à la racine des
grenades...
DKP
DKP
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